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Nos oeuvres et monuments

Sur les traces de notre culture joliettaine.

Chant de force | Josiane Saucier

Collection itinérante

Développée en 2018 dans le cadre du programme d’acquisition annuel d’œuvres d’art, la collection itinérante de la Ville de Joliette comprend plusieurs œuvres bidimensionnelles, aux médiums variés, créées entièrement par des artistes lanaudois. Chaque année depuis, un appel de dossiers est lancé afin de bonifier la collection. Dans un souci de rayonnement de l’art local, cette collection se déplacera chaque trois ans au sein des bâtiments municipaux afin d’en faire bénéficier citoyens et employés.

Consultez le catalogue d'oeuvres

Oeuvres et monuments à Joliette

  • Jean Brillant

    20 000 lieues

    Titre : 20 000 lieues
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2021
    Emplacement : Parc Renaud
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier
    Dimensions : 312 cm de hauteur, 365 cm de largeur et 4 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain.

    20 000 lieues nous transporte jusqu’au fond des mers. Nous y scrutons les alentours à travers des algues et guettons des créatures pourvues de nageoires et de branchies. De son imposante stature de métal, figée telle une ancre, elle fait ressurgir l’immobile mouvement des fonds marins.

  • Arche d'amitié du club Lions de Joliette

    Titre : Arche d'amitié du club Lions de Joliette
    Artiste : Inconnu
    Année de l’installation : 1993
    Emplacement : Boulevard Dollard, entre les rues Taché et Saint-Thomas
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Béton, crépi, pierre, aluminium
    Dimensions : Hauteur de 178,2 cm, largeur de 33,5 cm et profondeur de 31,4 cm

    Description du monument 
    Le monument est placé de telle sorte que l’on puisse le voir lorsque l’on entre ou l’on sort de la ville par le boulevard Dollard. Au milieu sont représentées deux mains se tenant et au-dessus un médaillon avec une sérigraphie représentant deux têtes de lions, la gueule ouverte. L’inscription Lions est notée sur les côtés du médaillon ainsi que sur le haut. En bas du médaillon est inscrit International.

    Source 
    Émilie Letur
    09/07/2013

  • Michel Edmond Leclerc

    Balise

    Titre: Balise
    Artiste: Michel Edmond Leclerc
    Année de l’installation : 2000
    Emplacement : École secondaire Thérèse-Martin, 916, rue Ladouceur
    Type d’œuvre : Sculpture
    Matériaux : Béton, métal, aluminium
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur

    Symbolique de l'oeuvre
    Ce phare-symbole participe jour et nuit au paysage traçant au-dessus de nos têtes la trajectoire vers le point d’attache et de rassemblement. Ainsi, cette tour devient, par sa visibilité, un repère de lieu, une « balise ». » Cette œuvre a été créée dans le cadre de la politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement.

    Source
    Émilie Létur        
    26/07/2013

  • Jean Brillant

    Cambrure

    Titre : Cambrure
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2007
    Emplacement : Parc Louis-Querbes
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier, pierres
    Dimensions : 80 cm de hauteur, 596 cm de largeur et 80 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain. 

    La cambrure apparente de la forme de la sculpture complémente ici habilement l’horizontalité du sol. Elle l’élève presque avec lui. Des tensions entre les deux extrémités et le centre, puis entre la pierre et leur armure de métal en appellent, paradoxalement, à l’harmonie.

  • Jean Brillant

    Cérès

    Titre : Cérès
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2021
    Emplacement : Parc Renaud
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier
    Dimensions : 457 cm de hauteur, 196 cm de largeur et 34 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain.

    Cette pièce prend racine dans l’histoire de la déesse romaine du même nom, déesse de l’agriculture, des moissons et de la fertilité. Si la Cérès présentée ici s’avère plus minimaliste que les représentations typiques du personnage, elle n’en demeure pas moins puissante, portant fièrement vers le ciel des formes qui rappellent des motifs associés à la déesse depuis toujours, les épis de blé.

  • Josiane Saucier

    Chant de force

    Titre : Chant de force
    Artiste : Josiane Saucier
    Année de l'installation : 2023
    Emplacement : Sentier du parc Riverain et de l'île Vessot
    Type d'œuvre : Sculpture
    Matériaux : Acier inoxydable
    Dimensions : 

    • Module A : H. de 20 pieds, L. de 18 pieds et P. de 8 pieds

    • Module B : H. de 15 pieds, L. de 18 pieds et P. de 9 pieds

    Symbolique de l'œuvre
    C’est en imaginant l’eau en mouvement et l’invisibilité d’un champ de force que l’œuvre a été choisie. Elle reflète un concept visuel fluide et à l'épreuve des années.  

    Apparentées aux sinuosités et éclaboussures de l’eau, les deux formes d’acier inoxydable composant l'œuvre s’érigent et émergent de part et d’autre du sentier. Ces deux structures, possédant une force immuable et une délicatesse transposée dans la matière, s’intègrent parfaitement sur le site du parc Riverain. Ce dernier côtoie la puissance de la rivière qui s’insinue dans chaque foyer desservi par Hydro-Joliette. 

    À la lumière du jour, ces structures scintillent et reflètent les couleurs du ciel et de la forêt environnante. Elles offrent un impact visuel incontournable par leur monumentalité et leur mouvement soigneusement façonnés dans l’acier inoxydable, ce qui leur confère de remarquables qualités sculpturales. 

    Dès la nuit tombée, un champ de force lumineux apparaît, immortalisant leur jaillissement. Dissimulé dans la plus petite des structures, un système d’éclairage projette de façon théâtrale son faisceau bleu électrique dans le haut de la plus grande des deux. Chant de force devient ainsi un point de repère visuel, une rassurante présence lumineuse. 

    Pour la science, un champ de force se définit comme une zone, une partie de l’espace invisible à l'œil nu, où se manifeste un système de forces magnétiques, électriques ou gravitationnelles. Le sens du mot prend une autre signification dans ce concept pour revêtir celui du chant, tel le chant de la rivière… Celui de ses puissants remous qui jadis inspiraient nos ancêtres de sorte qu’ils ont su transformer ce flot continu d’énergie en hydroélectricité. Ainsi, le projet Chant de force cherche à préserver la mémoire soluble engendrée par cette fascinante découverte. 

    Biographie de l'artiste
    Née à L’Assomption, Josiane Saucier travaille dans son atelier de création à Saint-Jacques et se passionne pour la sculpture d’acier depuis 1995. Formée à l’Université du Québec à Trois-Rivières en arts visuels, elle a enseigné les arts au Cégep régional de Lanaudière pendant 5 ans.  

  • Jean Brillant

    Chose dite, chose faite

    Titre : Chose dite, chose faite
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2021
    Emplacement : Parc Louis-Querbes
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier
    Dimensions : 309 cm de hauteur, 400 cm de largeur et 30 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain.

  • Firme Guy Perrault Cie Ltée

    Colonnes de la commission du centenaire

    Titre : Colonnes de la commission du centenaire
    Concepteur : Firme Guy Perrault Cie Ltée
    Année de l'installation : 1965
    Emplacement : boulevard de l’Industrie
    Type de monument : sculpture
    Matériaux : pierre
    Dimensions : inconnues

    Contexte de création
    Dans le cadre des fêtes entourant la célébration en 1964 du centenaire de l’incorporation de la Ville de Joliette, de nombreux projets furent initiés. L’un d’eux est annoncé en novembre 1963 : la création des pylônes du centenaire. Le projet s’inspire des colonnes qui avaient été érigées entre 1940 et 1945 à l’entrée des casernes de Lanaudière, rue Alice à Joliette lors de la construction du camp militaire C.A.B.T.C.42. Un dessin est réalisé par les frères Julien et Marcel Perrault, du bureau d’architecte Auguste Martineau et Associés de Joliette.

    Aux limites ouest de la municipalité, on prévoit alors construire, en pierre des champs, deux pylônes de vingt pieds de hauteur avec un flambeau d’où, au sommet, brûle une flamme perpétuelle sur le boulevard de l’Industrie, ouvert en 1949. Cette voie d’accès a été privilégiée, car elle mène vers Montréal par la route de Saint-Paul. On croyait pouvoir ainsi rejoindre l’autoroute 40, qui connectera Montréal et Berthier de 1965 à 1967. L’histoire démontrera que le développement sera axé sur la rue Dollar, qui n’était à ce moment qu’un cul-de-sac.

    En avril 1964, on fait une demande de soumission pour la réalisation de cet ouvrage. La firme Guy Perrault Cie Ltée, entrepreneur général de Joliette, obtient le contrat au coût de 2 900 $. Les colonnes des commissaires du centenaire sont inaugurées le 3 novembre 1965. Chacune d’elles porte sur une plaque les noms des responsables des fêtes. Celle du côté sud fait mention des noms des six présidents d’honneur, des huit patrons d’honneur, des neuf membres d’honneur, des six membres de l’exécutif et des huit commissaires. Celle du côté nord indique le nom des membres des quelques 16 comités de la commission. À cette occasion, plus de 30 personnes procèdent à la signature du livre d’or de la municipalité au milieu du boulevard de l’Industrie, au grand étonnement de l’évêque du diocèse de Joliette Monseigneur Joseph Arthur Papineau.

    Ces colonnes, qui devaient faire œuvre de mémoire vont pourtant tomber dans l’oubli et l’indifférence, phénomène certainement dû à leur éloignement et à leur inaccessibilité sur cette voie de circulation à tel point qu’en mars 1998 on songe à leur démolition dans le cadre d’un projet d’élargissement du boulevard de l’Industrie (route 343) par le ministère des Transports du Québec (MTQ), désirant faire passer de quatre à cinq le nombre de voies sur cette artère. Il faudra l’intervention de la Société d’histoire locale avec sa présidente en tête, Mme Jacqueline Lachance Poirier, pour que le conseil de ville se saisisse du dossier en appuyant la requête visant à préserver ce monument. On intervient aussi auprès du ministre des Transports, M. Jacques Brassard. Le MTQ procède finalement au démantèlement des colonnes. L’état des colonnes empêchant leur déplacement, elles sont reconstruites après les travaux d’élargissement de la chaussée. Pour les déplacer d’un mètre, le coût de ces travaux est estimé à 40 000 $.

    Les colonnes sont inaugurées de nouveau le 6 décembre 1999 avec les plaques originales, qui se font face de part et d’autre du boulevard en présence de représentants de la Société d’histoire, de la mairesse de Joliette Danielle Laferrière, du député Guy Chevrette et d'André Sanschagrin, ingénieur du ministère des Transports.

    Les colonnes constituent un diptyque fait de pierres-ciments et de moellon, avec un couronnement fait de feuilles de cuivre, sont surmontées d’une lampe électrique avec un globe en forme de flamme. Quelques années plus tard, les plaques sont vandalisées et disparaissent. Le système d’éclairage des flambeaux est remis en marche. Le service d’horticulture confectionne un aménagement paysagé autour des colonnes, sur lesquelles est apposé un élément de fer forgé portant le logo de la Ville de Joliette.

    À l’instar d’autres villes comme Saint-Hyacinthe ou Québec, Joliette possède ainsi ses portes d’entrée.

    Source
    Jean Chevrette, photographe et chercheur en histoire
    Août 2022

  • Jean Brillant

    De même souche

    Titre : De même souche
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2011
    Emplacement : Devant le Musée d'art de Joliette
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier
    Dimensions : 240 cm de hauteur, 240 cm de largeur et 50 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain.

    Cet anneau s’ouvre-t-il? Se referme-t-il? L’immobilité de la sculpture est ici déjouée pour évoquer un mouvement; un rapprochement ou un éloignement entre deux entités. Quoi qu’il en soit, la forme évoque davantage une union. On peut même s’en approcher et en augmenter la portée symbolique. Un adulte peut s’y tenir debout, bras et jambes étendus, jusqu’à rappeler l’Homme de Vitruve de Léonard de Vinci. Les enfants sont aussi invités à l’investir, à l’explorer à la hauteur de leur imagination.

  • Enseigne de tir à l'arc

    Titre: Enseigne de tir à l’arc
    Artiste: Inconnu
    Année de l’installation : 1976
    Emplacement : Parc Pierre-Charbonneau (boulevard de la Base-de-Roc et rue Châteauguay)
    Type de monument : Enseigne
    Matériau : Bois
    Dimensions : Inconnues

    Symbolique de l'oeuvre
    Sur le monument, on peut lire : « Tir à l’arc/Site olympique/1976/Joliette ». En 1976, le programme « Arts et culture » des Jeux olympiques de Montréal a fait don de six sculptures à la Ville de Joliette, qui hébergeait les activités de tir à l’arc. Les artistes sont Marcel Barbeau, Germain Bergeron, Louis Archambault; les artistes Ivanhoë Fortier et Yves Trudeau sont notés également comme participants, mais les plaques d’identification de leurs œuvres concernant le contexte de création de l’œuvre n’évoquent pas les Jeux olympiques de 1976.

  • MuraleCréation

    Fresque - La Place du Marché

    Titre: Fresque - La Place du Marché
    Artiste: MuraleCréation
    Année de l’installation : 2014
    Emplacement : Place Bourget
    Type d’œuvre : Fresque
    Matériaux : Mixte
    Dimensions : 21,5 m (L) x 8,9 m (H)

    Symbolique de l'oeuvre
    La fresque évoque certains éléments marquants des 150 ans d’histoire de la Ville de Joliette. Elle met en scène plusieurs personnages et événements qui ont marqué l’existence de la ville. On y aperçoit notamment le Marché et sa clientèle active ainsi que plusieurs bâtiments tout autour ayant retrouvé leur air de jeunesse. L’édifice de la place du Marché, construit vers 1859-1860 par le Père Joseph Michaud, architecte, était un lieu animé d’activités commerciales et socioculturelles où les Joliettains avaient l’habitude de se rassembler régulièrement. Une partie de la fresque est également consacrée à la salle qui se trouvait au-dessus du marché; on y voit des musiciens et des comédiens en pleine action sur scène. Des affiches rendent hommage notamment au Père Wilfrid Corbeil à l’origine du Musée d’art de Joliette, au Père Fernand Lindsay, fondateur du Festival de Lanaudière, et à la poétesse Rina Lasnier dont la bibliothèque municipale porte le nom. Plusieurs anachronismes, dont la présence de la roulotte d’Henri la patate à une époque où elle n’existait pas encore font sourire.

    Description de la fresque

    Notices biographiques de l’artiste 
    MuraleCréation est une entreprise québécoise reconnue mondialement pour la création de fresques. Celle qui bénéficie de 35 ans d’expérience compte une soixantaine de fresques au Québec et plus de 600 références d’œuvres murales conçues et réalisées dans le monde par le groupe CitéAction, dont elle fait partie. Il est possible d’admirer ses œuvres géantes dans les villes de Lyon, de Barcelone, de Mexico, d’Angoulême, Mulhouse, Naples, Biarritz, Trikala, Marseille, Chartres, Tibériade, Brest, Paris, Carcassonne, Lisbonne, Porto, Valence, Vienne, Namur, Leipzig, Jérusalem, Yokohama, Moscou, Shanghai, Berlin, Québec

    Références et liens 
    CitéCréation
    19 février 2015

  • Ethel Rosenfield

    Hommage au soleil

    Titre: Hommage au soleil
    Artiste: Ethel Rosenfield (1910-2000)
    Année de l’installation : 1966
    Emplacement : Au coin du boulevard Manseau et de la rue Beaudry Nord
    Type d’œuvre : Sculpture
    Matériaux : Pierre
    Dimensions : 274,32 centimètres de hauteur

    Symbolique de l'oeuvre
    L’œuvre fait ressortir un pouvoir cosmique et universel et implique une approche tactile et visuelle du processus sculptural. Le thème entraîne une tension dynamique entre le spirituel et le matériel. L’œuvre montre la quête de la forme élémentaire et de la pureté des matériaux. Citation d’Ethel Rosenfield concernant sa participation au symposium : « En 1966, j’ai participé à un symposium organisé par le père Corbeil à Joliette. Les hommes pensaient que je ne serais pas capable de finir à temps « Hommage au soleil », une pièce monumentale de 9 pieds. Je devais travailler sur trois tables superposées pour pouvoir sculpter la tête de ma sculpture. À un moment, j’étais tellement fatiguée que j’ai dû m’arrêter. Lorsque je suis revenue, j’ai trouvé une rose rouge sur le dessus de ma sculpture. J’ai demandé qui l’avait mise là pour apprendre plus tard que c’était Paul-Émile Borduas. »

    Contexte de création
    L’œuvre a été réalisée dans le cadre du Symposium de sculpture de Joliette en 1966. Le projet était organisé par le Commission des Fêtes de la Saint-Jean. Il s’agissait du 5esymposium de sculpture du Québec qui regroupait six artistes : Ethel Rosenfield, Maximilien Boucher, Gaétan Therrien, Joseph Marcil, Paul-Émile Borduas et Pierre-Roland Dinel.

    Biographie de l'artiste
    Ethel Rosenfield est née en Pologne et s’installe à Montréal en 1919. Elle rencontre Gaétan Therrien à l’École des beaux-arts et a étudié auprès d’Armand Filion, Louis Archambault et Sylvia Daoust. En 1962, elle est l’un des membres fondateurs de l’Association des sculpteurs du Québec. La pierre est son matériau de prédilection pour ses sculptures. La pierre représente pour elle la mère-terre, mais le plus important pour l’artiste, ce sont les jeux d’ombres et de lumières sur ses œuvres.

    Références 
    Musée d’art de Joliette
    Musée d’art de Joliette. Citation issue de : John K. Grande, 1997-1998, « Ethel Rosenfield : L’œuvre de pierre », in Vie des Arts, vol. 41, no 169, p.38-39

    Source 
    Émilie Létur
    24/07/2013

  • Jean Brillant

    In and out

    Titre : In and out
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2021
    Emplacement : Parc Renaud
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier
    Dimensions : 190 cm de hauteur, 424 cm de largeur et 34 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain.

    À la hauteur de nos yeux se trame une rencontre entre deux êtres animés par un vif désir. La tension entre les deux corps est palpable. Une tension s’opère entre l’œuvre et celui ou celle qui la regarde, qui s’en approche. Et pourquoi pas, également, entre deux personnes qui s’y retrouveraient de part et d’autre, en face à face?

  • Germain Bergeron

    L'Archer

    Titre: L’Archer
    Artiste: Germain Bergeron (1933 -)
    Année de l’installation : 1976
    Emplacement : Stationnement de La Distinction, 1505, boulevard de la Base-de-Roc (Joliette)
    Type d’œuvre : Sculpture
    Matériaux : Métal
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur

    Symbolique de l'oeuvre
    La présence des mains montre la précision du geste de l’athlète qui tient de sa main droite la corde de l’arc et de la main gauche, l’arc. La corde et la flèche ne sont pas visibles sur l’œuvre. La présence des mains renforce l’existence de celles-ci. Le geste de la tireuse, bras plié et tiré vers l’arrière, suggère qu’elle soit prête à tirer la flèche.

    Contexte de création
    En 1976, le programme « Arts et culture » des Jeux olympiques de Montréal a fait don de six sculptures à la Ville de Joliette qui hébergeait les activités de tir à l’arc. Les artistes sont Marcel Barbeau, Germain Bergeron, Louis Archambault. Les artistes Ivanhoë Fortier et Yves Trudeau sont également notés comme participants, mais les plaques d’identification de leurs œuvres n’évoquent pas les Jeux olympiques de 1976. L’enseigne de tir à l’arc située dans le parc Pierre-Charbonneau fait partie des monuments liés aux Jeux olympiques de 1976.

    Biographie de l'artiste
    Ancien frère de la Congrégation de Sainte-Croix, Germain Bergeron réalise des sculptures monumentales en métal recyclé soudé. Ses sculptures rouges ont un côté graphique et schématique. Des œuvres de Bergeron se trouvent également devant le Collège de L’Assomption, Pic et pelle à la station de métro Monk à Montréal, ainsi que Le Discobole à Joliette.

    Référence 
    Musée d’art de Joliette

    Source
    Émilie Létur        
    09/07/2013

  • L'Obusier

    Titre: L’Obusier
    Artiste: Inconnu
    Années de service : 1940-1960
    Emplacement : Parc Lajoie (rues Archambault et Saint-Barthélemy)
    Type de monument : Militaire
    Matériaux : Acier, métal, caoutchouc
    Dimensions : Inconnues

    Symbolique de l’oeuvre
    L’Obusier a été fabriqué à Sorel : il s’agit d’un canon court utilisant des obus à charges séparées. Il tire des projectiles d’environ 41 kg à une vitesse de 550 m par seconde sur une distance de 14 km. Sa rapidité de tir est de trois obus à la minute. L’obusier est composé d’un tube monté sur un affût. L’affût comporte un essieu avec deux gros pneus et un longeron avec une crosse à bêche pour ancrer l’obusier au sol. De part et d’autre du tube sont placés deux boucliers servant de protection au tireur.

    Poids : 5 635 kg
    Calibre : 155 mm
    Poids de l’obus : 41 kg
    Détachement : 11 hommes
    Portée de tir : 14 km

    Source 
    Émilie Létur
    08/07/2013

  • Maximilien Boucher

    La famille

    Titre: La famille
    Artiste: Maximilien Boucher (1918-1975)
    Année de l’installation : 1966
    Emplacement : Hôtel de ville de Joliette, 614, boulevard Manseau
    Type d’œuvre : Sculpture
    Matériaux : Pierre
    Dimensions : Variables

    Symbolique de l'oeuvre
    L’œuvre représente une famille formée d’un père, d’une mère et de trois enfants ; une petite fille et deux garçons. Deux groupes se distinguent au sein de l’ensemble sculptural. Tous les regards et les visages convergent vers le petit garçon au centre de la famille, sauf le garçon à côté de sa mère qui regarde son oiseau. Les regards de la mère, du père et de la petite fille renforcent la composition centrale sur le petit garçon. La spécificité de l’œuvre est la multiplicité des points de vue : elle s’observe de tous les côtés.

    Contexte de création
    L’œuvre a été réalisée dans le cadre du Symposium de sculpture de Joliette en 1966. Le projet était organisé par le Commission des Fêtes de la Saint-Jean. Il s’agissait du 5esymposium de sculpture du Québec qui regroupait six artistes : Ethel Rosenfield, Maximilien Boucher, Gaétan Therrien, Joseph Marcil, Paul-Émile Borduas et Pierre-Roland Dinel.

    Biographie de l'artiste
    Maximilien Boucher est d’abord connu comme un membre des Clercs de Saint-Viateur, puis comme un artiste-sculpteur, peintre et professeur d’arts plastiques ayant œuvré à Joliette toute sa carrière. Il est aussi connu sous le nom d’artiste Max Boucher. De 1945 à 1948, il étudie à l’École des beaux-arts de Québec suite à l’approbation de ses supérieurs du clergé qui reconnaissent son talent. Il explore alors la sculpture, la peinture et aussi le modelage. En 1948, il obtient le troisième prix au Grand concours provincial de sculpture avec son œuvre La parabole du Bon Samaritain. Plusieurs de ses œuvres sont inspirées de son parcours et reflètent son contact avec la religion. Il a participé à de nombreuses expositions au Québec, mais aussi en Europe. En reconnaissance de son talent et de son apport au patrimoine québécois, la Société Nationale des Québécoises et Québécois de Lanaudière a donné son nom au Prix des Arts Maximilien-Boucher.

    Références 
    Musée d’art de Joliette
    Anonyme (2015). Maximilien Boucher. Page repérée au : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maximilien_Boucher

    Source
    Émilie Létur          
    08/07/2013

  • Germain Bergeron

    Le Discobole

    Titre: Le Discobole
    Artiste: Germain Bergeron (1933 -)
    Année de l’installation : 1976
    Emplacement : Stade municipal, 1600, boulevard de la Base-de-Roc (Joliette)
    Matériaux : Métal
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur

    Symbolique de l'oeuvre
    Le détail du corps importe peu à l’artiste, ce qu’il a voulu représenter, c’est le mouvement du sportif. Il saisit l’action, le moment où le sportif est prêt à lancer son disque. La sculpture démontre également sa force. La simplicité de la sculpture marque une certaine légèreté. Le socle, assez haut, lève le discobole qui s’appuie sur une jambe, l’autre étant suspendue dans les airs. Ses jambes sont pliées et montrent la prise au sol du sportif, ses bras sont tendus, prêts à lancer le disque et son corps, penché en arrière, montre la puissance du lancer.

    Contexte de création
    En 1976, le programme « Arts et culture » des Jeux olympiques de Montréal a fait don de six sculptures à la Ville de Joliette qui hébergeait les activités de tir à l’arc. Les artistes sont Marcel Barbeau, Germain Bergeron, Louis Archambault. Les artistes Ivanhoë Fortier et Yves Trudeau sont également notés comme participants, mais les plaques d’identification de leurs œuvres n’évoquent pas les Jeux olympiques de 1976. L’enseigne de tir à l’arc située dans le parc Pierre-Charbonneau fait partie des monuments liés aux Jeux olympiques de 1976.

    Biographie de l'artiste
    Ancien frère de la Congrégation de Sainte-Croix, Germain Bergeron réalise des sculptures monumentales en métal recyclé soudé. Ses sculptures rouges ont un côté graphique et schématique. Des œuvres de Bergeron se trouvent également devant le Collège de L’Assomption, Pic et pelle à la station de métro Monk à Montréal, ainsi que Le Discobole à Joliette.

    Référence 
    Musée d’art de Joliette

    Source 
    Émilie Létur    
    09/07/2013

  • Gaétan Therrien

    Le poète

    Titre: Le poète
    Artiste: Gaétan Therrien (1927-2005)
    Année de l’installation : 1966
    Emplacement : Au coin de la rue Piette et du boulevard de L’Industrie
    Type d’œuvre : Sculpture
    Matériaux : Pierre d’Indiana
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur, 1 mètre de largeur et 90 centimètres de profondeur

    Symbolique de l'oeuvre
    L’artiste a utilisé une pierre d’Indiana de neuf tonnes pour réaliser son œuvre. Il s’est inspiré du poème L’Albatros de Charles Beaudelaire. Les personnages qui entourent le poète symbolisent les muses qui le tourmentent ou le conseillent. L’aspect des trois personnages qui entourent le poète semble fantomatique. Ils ressemblent à des ombres qui assaillent le poète et qui le touchent. Les courbes marquent le mouvement des bras des personnages.

    Contexte de création de l'oeuvre
    L’œuvre a été réalisée dans le cadre du Symposium de sculpture de Joliette en 1966. Le projet était organisé par le Commission des Fêtes de la Saint-Jean. Il s’agissait du 5esymposium de sculpture du Québec qui regroupait six artistes : Ethel Rosenfield, Maximilien Boucher, Gaétan Therrien, Joseph Marcil, Paul-Émile Borduas et Pierre-Roland Dinel.

    Biographie de l'artiste
    Gaétan Therrien est né en 1927 à Drummondville et est décédé en 2005. Il étudieà l’École d’architecture de Montréal de 1942 à 1944, puis il entre à l’École des beaux-arts de Montréal en 1945. Il part en Europe de 1952 à 1953 où il étudie auprès de l’artiste-sculpteur Ossip Zadkine. Il devient ensuite professeur à l’École des beaux-arts de Montréal, ainsi qu’au Séminaire de Joliette et à Sainte-Thérèse. Il fait partie des fondateurs de l’Association des sculpteurs du Québec, dont il a également été président. Il a exposé ses œuvres au Canada, aux États-Unis et en France.

    Références 
    Musée d’art de Joliette
    Réseau d’information des aînés du Québec (2009). Gaétan Therrien : Sculpteur, Peintre, Homme de foi. Page repérée au :  http://pages.riaq.ca/gaetantherrien/gaetan_therrien_et_son_oeuvre.htm

    Source
    Émilie Létur    
    31/07/2013

  • Joseph Marcil

    Les nouveaux guerriers

    Titre: Les nouveaux guerriers
    Artiste: Joseph Marcil (1946 -)
    Année de l’installation : 1966
    Emplacement : Parc Saint-Jean-Baptiste
    Type d’œuvre : Sculpture
    Matériaux : Pierre, ciment
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur, 76 centimètres de largeur et 60,5 centimètres de profondeur

    Symbolique de l'oeuvre
    L’œuvre fait ressortir un pouvoir cosmique et universel et implique une approche tactile et visuelle du processus sculptural.

    Contexte de création
    L’œuvre a été réalisée dans le cadre du Symposium de sculpture de Joliette en 1966. Le projet était organisé par le Commission des Fêtes de la Saint-Jean. Il s’agissait du 5esymposium de sculpture du Québec qui regroupait six artistes : Ethel Rosenfield, Maximilien Boucher, Gaétan Therrien, Joseph Marcil, Paul-Émile Borduas et Pierre-Roland Dinel.

    Biographie de l'artiste
    Joseph Marcil a fait des études à l’École de technologie supérieure de Montréal et à l’École des beaux-arts de Québec. Par la suite, il se consacre à la réalisation d’œuvres d’intégration à l’architecture. Durant les années 1960, il explore la sculpture, mais aussi le dessin sur papier. Ses œuvres sont exposées un peu partout à travers la province, notamment au Palais des congrès de Montréal.

    Références 
    Musée d’art de Joliette
    Espace Art Actuel (2015). Joseph Marcil. Page repérée au: http://dictionnaire.espaceartactuel.com/artistes/marcil-joseph-1941/

    Source
    Émilie Létur      
    09/07/2013

  • Monument Agnès Parent-Robillard

    Titre : Monument Agnès Parent-Robillard
    Artiste : Inconnu
    Année de l’installation : 1998
    Emplacement : Parc Lajoie, au coin des rues Archambault et Saint-Barthélemy
    Type de monument : Commémoratif
    Matériau : Granit
    Dimensions : Hauteur de 115 cm, largeur de 72 cm et profondeur de 71,4 cm

    Symbolique de l’oeuvre
    Ce monument commémore Agnès Parent-Robillard (1902-1978) et son statut d’enseignante. Tout en bas, on peut y lire (en anglais) : « When there is a will, there is a way » ainsi que « Foi & Courage ». Sur le côté gauche du monument est inscrit : « Au 506 de la rue Richard se trouvait l’Institut Robillard qui dispensait un enseignement primaire et secondaire, commercial, bilingue, filles et garçons. Durant 50 ans, des milliers de jeunes de la région ont bénéficié de son enseignement. » Enfin, sur le côté droit du monument, on peut lire : « Vingt ans après son décès, son énergie et ses leçons de vie restent présentes à notre mémoire et c’est pourquoi, nous, ses anciens élèves avons tenu à lui rendre hommage. 14 juin 1998. »

    Qui était Agnès Parent-Robillard ?
    Agnès Parent-Robillard a fondé, en 1929, l’Institut Robillard dont elle était la directrice. Les élèves de cette école, de la première à la 12e année, étaient composés de 25 % de garçons. On y enseignait, en plus des cours réguliers, les matières commerciales telles que la comptabilité, l’anglais, la sténographie et la dactylographie. L’Institut Robillard a cessé ses activités lors de la création du ministère de l’Éducation en 1964. Agnès Parent-Robillard meurt en 1978, âgée de 76 ans.

    Source 
    Émilie Létur
    08/07/2013

  • Jules Lasalle

    Monument Antonio-Barrette

    Titre : Monument Antonio Barrette
    Artiste : Jules Lasalle (1957 —)
    Année de l’installation : 1999
    Emplacement : Parc Antonio-Barrette, au coin des rues De Lanaudière et Beaudry
    Type de monument : Commémoratif
    Matériaux : Granit, bronze, béton
    Dimension : Plus de deux mètres de hauteur

    Symbolique de l’oeuvre
    Monument commémoratif d’Antonio Barrette représentant l’homme politique sous la forme d’un buste en bronze. On y retrouve une identification du monument disant : « Hommage à l’honorable Antonio-Barrette (1899-1968). Député de Joliette (1936-1960), Ministre du Travail (1944-1960), Premier ministre du Québec (1960), Ambassadeur en Grèce (1963-1966). » Sur une autre façade du monument est inscrit : « 1899-1999, Association des Barrette d’Amérique et de nombreux donateurs ».

    Qui était Antonio Barrette?
    Antonio Barrette a porté de nombreux chapeaux faisant de lui un homme politique important pour Joliette. Il a d’ailleurs influencé le Québec en entier grâce à son parcours. Il a fait ses études au Collège Saint-Viateur de Joliette puis a travaillé comme messager et comme machiniste au Canadien National de 1914 à 1931. Par la suite, il est devenu ingénieur-mécanicien en chef pour l’Acme Glove Workd Ltd. de Joliette et secrétaire de l’International Association of Machinists du district de Joliette. En 1936, il cofonde la Société Barrette et Lépine, courtiers d’assurances. Dans les années suivantes, il cumule les postes en politique : candidat conservateur défait à Joliette au milieu des années 1930, député de l’Union nationale en 1936 et réélu jusqu’en 1960. Il fut Ministre du Travail dans les années 40 et jusqu’en 1960. Premier ministre, président du Conseil exécutif et Ministre du Travail en 1960. Il démissionna comme député et chef de l’Union nationale la même année. Il a aussi été membre de diverses organisations philanthropiques et a reçu de nombreux honneurs provenant de diverses universités québécoises. En 1968, il rend l’âme à 69 ans.

    Biographie de l’artiste
    Jules Lasalle est un artiste québécois né à Saint-Michel-des-Saints en 1957. Il vit et travaille à Montréal où il dirige son atelier Attitude Enr. Il a étudié en arts plastiques à l’Université du Québec à Montréal puis a effectué un stage à l’École nationale supérieure des arts appliqués et métiers d’art et aux Ateliers Hervé Cappelli en France. Il a réalisé plusieurs monuments commémoratifs au Québec, comme le monument Hommage à Marguerite Bourgeoys (1988) dans le Vieux Montréal et le monument à Robert Bourassa sur la colline parlementaire à Québec (2006).

    Source : Émilie Létur
    24/07/2013

  • Émile Brunet

    Monument aux soldats morts à la guerre

    Titre : Monument aux soldats morts à la guerre
    Artiste : Émile Brunet (1893-1977)
    Année de l’installation : 1947
    Emplacement : Parc Lajoie, au coin des rues Archambault et Saint-Barthélemy
    Type de monument : Militaire
    Matériaux : Béton, granit, marbre, bronze
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur, plus de 2 m de largeur

    Description du monument
    Les parties droite et gauche telles des stèles présentent les noms des soldats morts lors des guerres mondiales de 1914 à 1918 et de1939 à 1945. Les noms des soldats morts pendant la guerre de Corée sont également inscrits sur la stèle de droite. Les dates des guerres sont inscrites sur la base des stèles. En haut de la stèle de gauche est inscrit : « À nos glorieux soldats tombés au champ d’honneur ». Sur les côtés intérieurs des stèles est inscrite, à la verticale, la devise du Québec : « Je me souviens », en français sur la stèle de gauche et en anglais : « Lest we forget », sur la stèle de droite. L’ensemble repose sur une base en granit où il est gravé : « La cité et le comté de Joliette sont reconnaissants ».

    Biographie de l’artiste
    Émile Brunet a réalisé de nombreux monuments commémoratifs. Il a étudié à l´Art institute of Chicago ainsi qu’à l´École nationale supérieure des beaux-arts de Paris.

    Source
    Émilie Létur
    08/07/2013

  • Alfred Laliberté

    Monument du Père Cyrille-Beaudry

    Titre : Monument du Père Cyrille-Beaudry
    Artiste : Alfred Laliberté (1878-1953)
    Année de l’installation : 1936
    Emplacement : Cégep régional de Lanaudière à Joliette, 20 rue Saint-Charles-Borromée Sud
    Type de monument : Commémoratif
    Matériaux : Granit, bronze
    Dimension : Plus de 2 m de hauteur

    Description du monument
    Sur le bas-côté gauche est inscrit : « Apôtre du Sacré-Cœur de la communion quotidienne et des vocations sacerdotales ». Sur le bas-côté droit est marqué : « Il fut par état, par goût et par choix l’ami de la jeunesse ». Au centre s’élève la troisième partie où il est inscrit : « Le père Cyrille Beaudry C.S.V. (1835-1904) Supérieur du séminaire durant 36 ans ». La statue repose sur un petit socle en granit où est gravée une citation du père Beaudry : « Je vous ai tous connus. Je vous ai tous aimés ». La statue en bronze représente un homme barbu portant une bure avec une ceinture d’où pend un chapelet. Le père a la tête haute, les bras levés et les mains tendues en signe de paix et de bénédiction. Il s’agit d’un monument commémoratif posthume.
    Qui était Cyrille Beaudry?
    Cyrille Beaudry a fait ses études au Collège Joliette. Par la suite, il se donne comme mission de former les citoyens de premier plan au service de la communauté, ce qu’il fit pendant 36 ans. En 1857, il a été ordonné prêtre. Il épaulera d’abord le curé Antoine Manseau à titre de vicaire. Par après, en 1864, le Père Cyrille Beaudry fut nommé directeur du Collège, poste qu’il emploiera à perfectionner le programme d’enseignement grâce à diverses formations, améliorations des salles, aménagement d’un bassin de natation, etc. En 1904, il meurt des suites d’une pneumonie.

    Biographie de l’artiste
    Alfred Laliberté est un sculpteur québécois, né à Sainte-Élizabeth-de-Warwick au Québec en 1878. En 1902, il part faire ses études à l’École des beaux-arts de Paris. De retour au Canada en 1907, ses œuvres sont marquées par l’influence du sculpteur français Auguste Rodin. En 1922, il devient professeur à l’École des beaux-arts de Montréal. Durant sa carrière, il réalise de nombreuses sculptures en bronze, marbre, bois et plâtre. Entre 1928 et 1932, il réalise plusieurs petites sculptures de bronze illustrant les légendes, coutumes et activités rurales, reprenant ainsi l’histoire des pionniers du Canada. Parallèlement à sa carrière artistique, Laliberté a écrit trois manuscrits publiés ensemble en 1978 sous le titre Mes souvenirs.

    Références 
    Musée d’art de Joliette
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Lalibert%C3%A9

    Source
    Émilie Letur
    26/07/2013

  • J. Dussault

    Monument funéraire de la famille De Lanaudière

    Titre : Monument funéraire de la famille De Lanaudière
    Artiste : J. Dussault
    Année de l’installation : Inconnue
    Emplacement : Cimetière de Joliette, 1069, rue Lépine
    Type de monument : Funéraire
    Matériau : Granit
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur et plus de 2 m de largeur

    Description du monument
    La colonne de gauche représente les noms de la famille Joliette ainsi que ses membres directs. La colonne de droite représente les descendants de la famille Joliette. Le monument a été construit après la mort de Barthélemy Joliette. Son corps ainsi que ceux des membres de sa famille reposaient auparavant à la cathédrale de Joliette. L’ensemble sculptural respire le silence et le repos.

    Qui était la famille De Lanaudière?
    La colonisation des terres de Lavaltrie, au 18e siècle, se fait par la famille du même nom. Monsieur de Lavaltrie, en 1810, meurt en léguant ses biens à son épouse Marie-Angélique de Lacorne de Chapt. Cette dernière semble voir en son gendre Charles-Gaspard Tarieu de Lanaudière un héritier digne de ce nom. En 1792, ce dernier s’était uni à Suzanne-Antoinette Margane de Lavaltrie. De cette union naissent trois enfants : Pierre-Paul Tarieu Taillant de Lanaudière (marié à Véronique Gordon), Marie-Charlotte de Lanaudière (mariée à Barthélemy Joliette) et Marie-Antoinette-Suzanne (mariée à Peter Charles Loedel). Suite au décès de Charles-Gaspard Tarieu de Lanaudière, la seigneurie est partagée en trois : une moitié à son fils et l’autre moitié est partagée entre ses filles. Quelques années plus tard, ayant atteint un âge convenable pour administrer la seigneurie, les héritiers de Lanaudière prirent le tout en charge. À compter le 1814, Barthélemy Joliette, époux de Marie-Charlotte de Lanaudière, prend en charge la gestion de la seigneurie avec son beau-frère. De ce geste découlera, en 1823, la naissance du village d’Industrie qui deviendra, en 1864, la Ville de Joliette.

    Source
    Émilie Letur
    09/07/2013

  • Monument J.-Albert Contant

    Titre : Monument J.-Albert Contant
    Artiste : Inconnu
    Année de l’installation : 1992
    Emplacement : Parc Lajoie, au coin des rues Archambault et Saint-Barthélemy
    Type de monument : Commémoratif
    Matériau : Granit
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur, 75 cm de largeur et 24,7 cm de profondeur

    Description du monument
    Sur la face principale de la plaque il est inscrit : « Montréal 1877 — Joliette 1942. Organiste et maître de chapelle. Compositeur et professeur. Fondateur et directeur de fanfares ». Sur la plaque à l’arrière du monument est gravé : « Dévoilé le 14 juin 1992, ont contribué Société d’histoire de Joliette-De Lanaudière, Ville de Joliette, gouvernement du Québec, Guy Chevrette, député, Famille Contant. ». Sur la face principale du monument au-dessus de la plaque est gravé le nom de J. Albert Contant et son statut de musicien.
    Qui était J.-Albert Contant?
    J.-Albert Contant était organiste, compositeur et professeur de musique. Au début des années 1910, il est appelé de Montréal à Joliette comme organiste et maître de chapelle. Quelques années plus tard, en 1918, il fonde et dirige la fanfare de la ville. Il s’éteint en 1942, à l’âge de 65 ans.

    Source
    Émilie Letur
    08/07/2013

  • Daoust Lestage, architecture – Design urbain

    Murs d'eau

    Titre: Murs d’eau
    Concepteur : Daoust Lestage, architecture – Design urbain
    Année de l’installation : 2009
    Emplacement : Place Bourget Nord et Sud
    Type de monument : Mobilier urbain
    Matériau : Granit
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur

    Symbolique de l’oeuvre
    Sur les côtés de la place Bourget, au nord et au sud, se déploient six murs d’eau. De l’eau coule du sommet de ces monolithes de granit. Le dynamise économique de la Ville s’incarne dans les murs d’eau, clin d’œil à la force hydraulique de la rivière L’Assomption à l’origine du développement de Joliette.

    Source 
    Émilie Létur
    06/08/2013

  • Jannick Deslauriers

    Ombres et reflets

    Conformément à sa politique culturelle, la Ville a pris l’initiative d’intégrer une œuvre d’art public sur le bâtiment de service de la piscine municipale à la suite de travaux de rénovation. Il s’agit d’un projet d’une valeur de 21 000 $. Ce travail réalisé par l’artiste Jannick Deslauriers rappelle l’eau et la nature grâce à des cercles en métal reflétant le paysage et changeant de couleur, à des mésanges et à des branches de sapin installés au-dessus de la porte. Ces éléments de la nature font d’ailleurs écho au paysage existant autour de la piscine et peuvent être aperçus à tout moment de l’année sur le territoire joliettain.

    Mme Deslauriers est une artiste native de Joliette, mais vit actuellement à Montréal où elle a étudié. Elle travaille d’ailleurs en arts visuels au Collège Marie-Victorin. Elle a eu la chance d’exposer ses œuvres au Canada et aux États-Unis, notamment à New York.

    Visitez le site de l'artiste

  • Frédéric Saia

    Onde concertante

    Conformément à sa politique culturelle, la Ville a pris l’initiative d’intégrer une œuvre d’art public au centre du carrefour turbogiratoire à la suite de travaux de rénovation. Il s’agit d’un projet d’une valeur de 150 000 $. C’est suite au concours coordonné par le Service d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement que le concept de M. Frédéric Saia a été retenu. M. Saia est spécialisé en art environnemental et réalise des projets monumentaux qui évoluent dans le temps. L’œuvre développe notre vision « Joliette ville de nature, de travail et de culture » en exploitant plusieurs éléments évoquant ces différentes facettes de la ville.

    Ville de nature : M. Saia a su intégrer la thématique de la forêt et la végétation en plus de s’inspirer de la rivière L’Assomption et des saisons. Ville de travail : ce sont les carrières, les moulins, la circulation automobile et l’électricité qui reflètent le côté industriel de la ville et finalement, Ville de culture : la disposition des éléments de l’œuvre de même que sa statuette évoquent le travail du chef d’orchestre devant ses musiciens et ses spectateurs.

  • Plaque géodésique

    Titre : Plaque géodésique
    Artiste : Inconnu
    Année de l’installation : Inconnue
    Emplacement : Parc Lajoie, au coin des rues Archambault et Saint-Barthélemy
    Type de monument : Plaque
    Matériaux : Pierre, bronze
    Dimensions : 49 cm de hauteur, 39 cm de largeur et 39 cm de profondeur

    Description de la plaque
    Le monument représente une plaque de forme carrée faite en pierre. Sur le côté gauche du bloc est insérée une plaque en bronze où il est inscrit : « Geodetic Survey of Canada. The elevation of this bench mark is 195-076 Feet. Above mean sea level ». Sur le dessus du monument se trouve un petit médaillon en bronze où il est inscrit : « Service géodésique du Canada/Ottawa ».

    Source
    Émilie Letur
    08/07/2013

  • Saint-Viateur

    Titre: Saint-Viateur
    Artiste: Inconnu
    Année de l’installation : Inconnue
    Emplacement : Résidence des Clercs de Saint-Viateur, 132, rue Saint-Charles-Borromée Nord, Joliette
    Matériaux : Sculpture
    Dimensions : Inconnues

    Symbolique de l'oeuvre
    L’œuvre représente Saint-Viateur. Il porte la tonsure, de même qu’une bure simple. Il tient dans ses mains un livre. La sculpture est très simple dans la représentation de l’habit ainsi que celle du visage du saint. L’œuvre ressemble beaucoup à une œuvre de Gaétan Therrien réalisée en 1999 en pierres d’Indiana.

    Source
    Émilie Létur          
    08/07/2013

  • Louis Archambault

    Sans titre

    Titre: Sans titre
    Artiste: Louis Archambault (1915-2003)
    Année de l’installation : 1976
    Emplacement : Poste de la Sûreté du Québec de la MRC Joliette, 733, rue Richard
    Matériaux : Acier
    Dimensions : Plus de deux mètres de hauteur

    Symbolique de l'oeuvre
    L’œuvre a été remise dans le contexte des Jeux olympiques de 1976 : elle représente un haltérophile stylisé. L’artiste a réalisé une œuvre très géométrique et a saison l’instant où le sportif maintient l’haltère au-dessus de sa tête. Cette œuvre illustre la force qui est unie à la fertilité.

    Contexte de création de l'oeuvre
    En 1976, le programme « Arts et culture » des Jeux olympiques de Montréal a fait don de six sculptures à la Ville de Joliette qui hébergeait les activités de tir à l’arc. Les artistes sont Marcel Barbeau, Germain Bergeron, Louis Archambault. Les artistes Ivanhoë Fortier et Yves Trudeau sont également notés comme participants, mais les plaques d’identification de leurs œuvres n’évoquent pas les Jeux olympiques de 1976. L’enseigne de tir à l’arc située dans le parc Pierre-Charbonneau fait partie des monuments liés aux Jeux olympiques de 1976.

    Biographie de l'artiste
    Louis Archambault est un sculpteur québécois né en 1915 à Montréal et décédé en 2003 à Saint-Lambert. Il est considéré comme l’un des pionniers de la sculpture contemporaine au Canada. Sa carrière s’est essentiellement déroulée au Québec. Son travail artistique a évolué en passant de la sensualité formelle à l’austérité géométrique. Il dépouille ses œuvres d’éléments essentiels. L’artiste s’inspire de l’œuvre de Brancusi et Giacometti. Il signe le manifeste artistique Prisme d’Yeux en 1948 avec d’autres artistes, dont Alfred Pellan. Il réalise également des œuvres pour les pavillons canadiens lors des Expositions universelles de Bruxelles en 1958 et de Montréal en 1967.

    Références 
    Épivent, Jean-Luc (1981). Louis Archambault : les trésors de l’intuition, in Vie des Arts, vol. 25, no 102, p.32.
    Centre d’exposition de l’Université de Montréal (2010). Louis Archambault. Page repérée au : http://www.artpourtous.umontreal.ca/voir/artistes/louis-archambault/index.html

    Source
    Émilie Létur        
    26/07/2013

  • Robert Roussil

    Sans titre

    Titre : Sans titre
    Artiste : Robert Roussil (1925-2013)
    Année de création : 1984
    Année de l'installation : 2022
    Emplacement : parc Louis-Querbes
    Matériaux : sapin de Douglas
    Dimensions : Plus de quatre mètres de hauteur et plus de deux mètres de largeur

  • Jean Brillant

    Torsion

    Titre : Torsion
    Artiste : Jean Brillant
    Année de la création : 2011
    Emplacement : Parc Louis-Querbes
    Type de monument : Sculpture
    Matériaux : Acier, pierres
    Dimensions : 51 cm de hauteur, 597 cm de largeur et 51 cm de profondeur

    Parcourez le parc Louis-Querbes, ainsi que le parc Renaud afin d'admirer les sept oeuvres de Jean Brillant accueillies sur le territoire joliettain.

    Dans cette torsion figée dans l’espace et le temps, les pierres, vivantes, s’organisent au centre de l'œuvre comme en leur propre société, et se tiennent en contraste avec l’illusion de mouvement de leur cadre de métal. Posés sur le sol du parc, ces éléments forment un tout organique qui interroge les forces qui constituent la géographie terrestre, dans un souci d’épouser l’horizontalité de leur environnement.